Quand le jour est repris avec des bouts de nuit, Que l’arbre décharné luit, ossature pâle Entortillant l’esprit en ses barreaux crayeux, Que sous leur suaire à vif, bavent des revenants Et que d’un souffle court clignote l’aile immense, Virgules du silence exhumées du béant, S’écrasent des corbeaux dans un désert de sel ! |
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